Je déteste faire les valises

Ceci est le coup de gueule du soir. On part demain matin en Bretagne, je suis loin d’avoir fini tous les paquetages et j’en ai maaaaaaaaaarre ! Ah oui je déteste faire les valises, vraiment. Je ne rêve que d’une chose, être sur la route demain, le coeur léger.

Pourtant j’ai une super liste type pour aller plus vite, mais ça me gonfle, entre le linge des gnomes, mes vêtements, prendre un peu de bouffe (dans les supermarchés de campagne on ne trouve pas forcément des petits pots bio), le sac à langer, les jouets, le matos pour la plage, les affaires de toilette, la poussette, les chaussures, les manteaux, la trousse à pharmacie et j’en passe…

Puis la Bretagne au mois de mai, ce n’est pas comme la Côte d’Azur en juillet, tu n’es pas certain qu’il fera beau pendant tout le séjour (qui a osé penser « même en juillet rien de sûr en Bretagne ?« ). Résultat, on doit s’équiper pour être paré à toute éventualité, de la grosse chaleur à la tempête de grêlons, ce qui alourdit de manière conséquente les paquetages. Sans parler des gnomes qui, sans vouloir les dénoncer, rajoutent pas mal d’affaires à préparer.

C’est bien pour cela que je refuse de partir pour moins de 15 jours depuis qu’on a deux gnomes. C’est tellement bien de pouvoir se poser deux longues semaines en un même endroit (en l’occurrence du côté de Concarneau pour les connaisseurs). 

Ce qui est chiant avec les bagages, c’est que c’est souvent au dernier moment que tu t’aperçois qu’il te manque des trucs (voire sur place, une fois arrivée sur le lieu de villégiature). Genre les lunettes de soleil du gnome, il a fallu en racheter car évidemment, celles de l’année dernière étaient devenues trop petites (Poupinette les a donc récupérées pour sa plus grande joie). J’ai eu une petite réussite en trouvant ce matin le modèle que je voulais. Par contre Choupi déteste toujours autant en porter, heureusement qu’il y a un élastique derrière…

Mais léger trouble en essayant le chapeau à Miss Poupinette, car sa tête est désormais bien à l’étroit dedans (il faut déjà passer au 49, j’en reviens pas). Enfin on verra sur place car là, plus le temps d’en racheter un avant le départ.

Bon dis-moi, pour que je me sente moins seule, tu détestes faire tes valises toi aussi, hein ? Surtout avec deux jeunes gnomes, tout de suite c’est moins fun, hein ! Ah ça, c’est sûr qu’on ne risque plus de partir à l’arrache en week-end improvisé !

Allez, j’arrête de me plaindre et je retourne m’y atteler, à la préparation de mes chers bagages ! Après le labeur, le plaisir, alors vivement demain soir !